VIDÉO : PETA dénonce la maltraitance des félins dans les cirques

Le dressage des animaux dans les cirques du monde entier cache bien souvent de la maltraitance. Les animaux sauvages notamment sont battus pour être entraînés à réaliser des numéros censés ravir les yeux des spectateurs. Bienvenue dans l’envers du décor.

Des souffrances réelles

La vidéo ci-dessous commandée par PETA, la célèbre association de défense des animaux, a pour objectif de sensibiliser l’opinion aux souffrances subies par les félins dans les cirques, mais également dans les films. Tigres, lions, léopards et même chats sont souvent les stars de ces spectacles grand public. Dressés à sauter, à se mettre sur leurs pattes arrière ou encore à rugir, la beauté de ces félins émerveille petits et grands.

Mais c’est justement en continuant à assister à ce genre de spectacles mettant en scène des animaux qui ne sont pas faits pour obéir à l’Homme que ces pratiques persistent. Tant qu’il y aura de la demande, les cirques (et autres dérives) continueront d’enfermer leurs félins dans des cages minuscules toute leur vie et de ne les en sortir que pour les obliger à exécuter des tours de piste. Le tout en étant bien souvent roués de coups. Sympa comme vie, non ?

Une vidéo engagée

Un chat, deux tabourets, des cris, des coups. La peur au ventre, voilà ce qu’on voit en regardant ce pauvre chat qui est heureusement fabriqué en images de synthèse. Mais la souffrance qui se peint sur son visage est une réalité pour beaucoup de petits félins sur la planète.

L’homme qui maltraite son chat nommé Rufus n’est autre que la représentation d’un dresseur maltraitant comme il y en a tant. Attention, tous les propriétaires de félins destinés au dressage n’ont pas ce genre de pratiques.

Mais même sans coups, le problème de ces animaux reste le même. On voit bien à travers la vidéo à quel point effectuer un exercice tel que celui de sauter entre deux tabourets peut rebuter le chat. Les félins sont des êtres indépendants qui ont besoin d’espace, mais aussi, et surtout de liberté. L’alerte est désormais lancée, reste à savoir si la prise de conscience aura lieu ou non.