Ils vous fascinent depuis de nombreuses années et voilà que vous avez décidé de sauter le pas et d’en adopter un. Le serpent est un reptile dont la domestication s’est développée depuis quelques années, ce qui ravit un grand nombre de passionnés. Mais il reste un animal doté d’un instinct sauvage et il est donc important de bien savoir choisir son futur compagnon rampant. Voici quelques conseils pour être certain de faire le bon choix.
1. Choisir un serpent adapté à son niveau
Pour un premier serpent, et sans connaissances expertes sur ces reptiles, mieux vaut opter pour un serpent facile à élever. Les petits serpents sont plus économiques en termes de nourriture et mieux vaut en choisir un qui supporte les aliments surgelés, plus pratiques à stocker que les animaux vivants. Il existe trois types de serpents accessibles aux débutants :
- Le serpent des blés qui peut vivre jusqu’à 15 ans et atteindre 1 mètre de long. Il est doté d’un caractère calme et peu angoissé.

- Le serpent des maisons, un reptile diurne peu répandu, mais pourtant bénéficiant d’un tempérament calme. Il tient son nom du fait de sa présence dans les fermes, permettant aux habitants de se débarrasser des rongeurs nuisibles ;

- Le python royal est un petit reptile docile et lent permettant une bonne première familiarisation avec la famille des serpents.

2. Choisir un serpent en fonction du temps que l’on aura à lui consacrer
L’adoption d’un serpent est un engagement sur le long terme étant donné que certains peuvent vivre jusqu’à 30 ans.
Il est donc nécessaire de se renseigner en profondeur sur chaque espèce afin de choisir le reptile qui nous correspondra le plus. Il s’agit de connaître le tempérament de chacune, sa longévité et ses besoins en termes d’espace et de nourriture.
3. Acheter son serpent chez des professionnels
Le plus sûr est d’aller demander conseil dans une animalerie ou dans un élevage afin de s’assurer que l’on ne contribue pas à l’extinction d’une espèce. En effet, le trafic d’animaux a toujours autant de succès et, en s’adressant aux mauvaises personnes, on prend le risque d’acheter une espèce protégée ou en voie d’extinction.
De plus, les animaux capturés à l’état sauvage auront de plus grandes chances d’être agressifs alors que ceux élevés en captivité s’adapteront bien plus facilement à leur nouvel environnement.
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